° Nom : Dvorakova
° Prénom : Zéphyr
° Surnom : Zeph par ses amis proches, Z pour la plupart des gens.

° Date de naissance : 14 Février
° Age : 24 ans

° Métier : Blood Dealer
° Caste : Sans Caste

° Sexualité : A peu près tout et rien venant de lui. C'est une pute à sa manière, il est provoquant et aguicheur, il est accro à la drogue et la morsure... mais au fond, il n'a jamais couché qu'avec une seule personne.



° Corpulence : Zéphyr n'est pas bien gros comme jeune homme, en fait il fait même un peu office de crevette lorsqu'il enlève son gros manteau. Il est cependant de taille moyenne et vise le mètre quatre vingt pour un poid de soixante dix huit kilos. Toute sa masse corporelle est composée essentiellement d'os, d'organes, de muscles et de peau. Il n'a pas beaucoup de graisse sur lui à par peut-être dans ses petites fesses rondes et fermes. Il n'a pas le temps de stocker de graisse, toute son énergie étant utilisée pour compenser le manque de nourriture et de sang. A part cela, Zéphyr est un charmant jeune homme, une bonne tête et un sourire presque engageant malgrés ses cheveux bruns bien souvent en pagaille.

° Allure : Nonchalant serait le terme juste. Mains dans les poches, un sourire insolent aux lèvres et une grande gueule. Zéphyr est un jeune homme qui n'a pas l'air d'être totalement sorti de l'adolescence. Il est provoquant et ses gestes sont vulgaires. Il ne se sent pas bien s'il ne fait pas au moins un doigt d'honneur dans la journée. Et pourtant, il à l'air charmant avec son sourire franc et son regard amusé. Mais mieux vaut garder un oeil à l'étincelle qui émane des deux pupilles noisettes, si celle-ci change il peut devenir violent. Il se font parfaitement dans la masse urbaine et n'a d'autres ambitions que de mener sa petite vie à faire vivre un enfer aux gens qu'il croise.

° Goûts vestimentaires : Pas vraiment compliqué, Zéphyr sera bien souvent vu avec un jean délavé et un pull noir. Le jeune homme est en fait relativement simple même s'il choisit toujorus avec attention ses vêtements. La seule chose qu'il ne changera pas sera sans doute son par dessus, cette veste qui le suit depuis son adolescence et qu'il n'enlève que lorsqu'il fait vraiment chaud. A part cela... ce seront toujours des vêtements un peu cintrés dans lesquels il se sent à l'aise. Sa garde robe n'est donc par forcément très bien fournie mais il n'en a rien à faire, pour lui s'habiller n'est pas une priorité en soit.

° Signe distinctif : Des marques de morsures et de piqûres sur les bras. Ainsi qu'un tatouage sur le bas de sa nuque en forme de point d'interrogation.



° Généralité : Que dire de Zéphyr à part qu'un est un petit con ? Un emmerdeur de première. Vulgaire, irrespectueux de tout et de tout le monde. Il donne l'impression de n'aimer rien ni personne et c'est sans doute le cas. Zéphyr n'a que peu d'estime pour la race humaine et encore moins pour les vampires. Et pourtant... il est accro, accro à la morsure de vampire. Il ne peut s'en passer et est prêt à tout pour se faire mordre. C'est comme cela que son petit commerce à commencé...

A côté de ça, Zéphyr est un connard de première. Il ne tend la main à personne sauf s'il y trouve un interêt personnel. Les gens peuvent bien crever autour de lui il n'en a rien à faire. Il aime défier l'autorité mais sait cependant rester dans les limites de la loi, il n'a aucune envie de se faire arrêter. Mine de rien, le jeune homme est loin d'être un idiot, on pourrait aussi dire qu'il est relativement intelligent. Malheureusement il met son cerveau à son seul service. Les autres ne sont pour lui que des jouets et des inconnues avec lesquelles composer. Très nombriliste, il est égocentrique et éprouve du plaisir à entendre les gens parler de lui, même si c'est en mal.

Un brun parresseux également, il n'a pas de vrai travail, considérant que travailler c'est pour les idiots. Alors il se contente de dealer son sang au plus offrant. Telle une pute de luxe pour vampire, sans jamais enlever ses vêtements. Car, mine de rien, Zéphyr n'a jamais donné son corps qu'à une seule personne pour le moment. Très fidèle, il considère que la seule personne ayant le droit de le toucher sera celle pour qui il éprouvera un minimum de respect. Sauf qu'il ne respecte personne... pourtant cela ne semble pas l'affecter, son plaisir sexuel le plus intense étant pour l'instant de se faire mordre. Cela le satisfait pour le moment. Il rêverait de faire parti des favoris, de sa fange lorsqu'il regard le palais sous les rayons de l'aube, il s'imagine se réveiller dans un lit et dans des draps propres... mais cette haute tour est inaccessible pour lui alors il se contente d'en rêver de loin. Les vampires ont la belle vie, quelque part espère-t-il sans doute qu'un vampire le libère de sa condition humaine et le transforme. Mais si, ça aussi, ça n'est qu'un rêve. Et il ne sait pas s'il aimerait l'immortalité... bien que le fric, ça le brancherait pas mal.


° Aime / Déteste : Zéphyr aime être mordu, au point qu'il en a fait son fond de commerce. A part cela, il aime aussi rabaisser les gens et se moquer d'eux. Il n'a que très peu d'estime pour les autres et même s'il ne se considère pas forcément supèrieur... il ne peut s'empêcher d'être un connard de première. Il desteste qu'on le prenne de haut mais prendra toujours les choses avec le sourire avant de lancer quelques paroles emplies de venin. Zéphyr est ce que l'on peut appeller une langue de pute quand il s'y met. Au fond, il a sans doute aussi peu d'estime pour lui-même que pour les autres. Il n'est qu'un humain après tout.

° Sociabilité : Il est facile d'approcher Zéphyr, de lui parler. Au premier abord il peut même passer pour quelqu'un de sympathique. Mais l'on se rend rapidement compte qu'il prend son pied à se moquer des autres. Pourtant, il se dégage de lui une certaine aura qui attire les gens. Il semble être à l'écoute et l'est sans doute un peu. Il ne parle pas tant que ça et sait être discret quand il le faut.




° Passé :


- Reviens ici petit con ! ! hurla un homme en faisant le tour d'un étal, brandissant une barre de fer. Si jamais je te choppe je te brise les os ! ! menaça l'homme en courant à travers la foule.

Des humains tassés les uns contre les autres cherchant à trouver un vendeur un peu moins cher que le précédent pour faire leurs courses. Et au milieu, un môme qui courrait à perdre haleine avec un sac en plastique entre ses bras. Juste un gosse qui courrait avec un sourire vainqueur et provocateur aux lèvres alors que le marchand le poursuivait tant bien que mal. Mais, tel le vent, le gamin s'enfonça parmis tous ces inconnus jusqu'à disparaître avec son butin entre les mains, riant comme un fou alors qu'il se glissait dans un trou situé sous une palissade de fer, attérissant sur un chantier de construction. On ne le suivrait pas ici...

- C'est qui le con maintenant ? ricanna le garçon en reprennant son souffle.

Ouvrant sa prise, il en sorti un paquet de gâteaux et s'adossa contre la palissade avant de commencer à entamer son festin. Pourquoi attendre que son père rentre avec les poches vides alors qu'il pouvait se servir sur les étals ? On avait beau lui dire que ce n'était pas bien, que le vol était punis par la loi... il s'en fichait, il avait faim et c'était tout ce qui lui importait. De toutes façons il était trop rapide pour que quelqu'un le choppe. Riant de son propre forfait il engloutit ses petits gâteaux tout en regardant le reste du contenu du sac. Du riz, des pâtes... ils pourraient manger quelques jours comme ça...

- Je te trouve bien relax toi... fit une voix non loin de lui.

Tournant la tête, Zephyr se figea soudain alors que la silhouette d'un milicien se profilait à l'entrée du chantier. Avalant sa bouchée sans vraiment prendre le temps de la mâcher, il manqua de s'étouffer tout en essayant de cacher son forfait derrière lui. Toussant pour faire passer la nourriture qui était allée de travers il se rendit compte qu'il était dans la mouise. Une ombre dressée devant lui, il releva la tête pour voir que deux hommes le surplombait. Le garçon se tendit et finalement tenta de laisser son bagou parler pour lui.

- Vous m'avez surpris ! J'peux vous aider ? demanda-t-il avec un sourire innocent.

Une main le saisit au col et le souleva de terre pour le remettre debout alors que le deuxième homme ramassait le sac de nourriture. Se mordant la lèvre, le garçon fronça des sourcils et tendit les bras vers le sac.

- Hey ! Rendez-moi ça ! ! C'est à moi ! !

- A toi ? Tu es sûr ? J'aurais pourtant crut que tu venais de le voler... fit l'homme qui gardait une poigne certaine sur son t-shirt.

Il se prit sa déculottée du siècle par l'officier de la milice avant de s'en prendre une deuxième par le marchand et finalement une dernière par son père lorsqu'on le ramena chez lui. Ce jour là, Zéphyr apprit que lorsqu'on volait, il ne valait mieux pas se faire prendre. Mais il ne put se résoudre à ne pas voler. A huit ans il avait bien compris que le salaire seul de son père ne suffisait pas à les nourrir tous les deux. Ils arrivaient encore à s'en sortir lorsque sa mère était encore présente mais cette dernière était morte d'un mauvait rhume à défaut d'avoir pu se soigner réellement. Et si un humain seul avait du mal à survivre en Albstraum, un humain avec un enfant à charge ce l'était encore plus...


Dix ans plus tard la vie pour Zéphyr Dvorakova n'avait pas vraiment changée. Le gosse n'en était plus un et il avait cessé de voler après s'être fait chopper une seconde fois. A la place se trouvait le plus grand glandeur et le plus gros connard des quartiers pauvres d'Albstraum. Son enfance et son adolescence n'avaient pas été facile, comme pour la plupart des humains, mais il s'accrochait comme il pouvait à des rêves illusoirs. Comme devenir vampire, favori... voir membre de la milice. Malheureusement il s'avéra rapidement qu'aucun vampire ne voudrait faire de lui son infant, qu'il n'avait aucun talent ni beauté particulière pour devenir favori et que son sens de l'obéissance et de la loyauté n'était pas assez développés pour devenir milicien. Alors le jeune homme avait commencé à travailler comme ferailleur, comme son père. Faisant du commerce de férailles et de pièces détâchées... mais il n'y avait rien de plus ennuyeux que cela pour lui. Alors il commença à traîner dans les quartiers des loisirs avec d'autres jeunes. Ils ne faisaient rien d'autres que traîner, c'était certain, mais ils étaient là.

Il s'avéra rapidement que Zéphyr était doué pour se mettre les gens dans la poche. Le jeune homme arrivait à se faire inviter, sa langue acéré lui valait d'amuser la gallerie... beaucoup moins quand cette langue se retournait contre l'hôte. Il finit plus d'une fois jeté dans le fond d'une ruelle mais il s'en fichait. Des déchets... les humains étaient des déchets. Il n'avait aucune foie en eux, c'était certain. Alors il continuait de traîner. Jusqu'à ce qu'un jour il ne croise un vampire au détour d'une ruelle.

- Hé gamin... combien tu prend ? fit la créature avec un sourire un peu mauvais.

- Ca dépend... combien t'es prêt à mettre ? renchérit l'adolescent avec provocation, ne comprenant le sens des paroles du vampire que lorsqu'il termina de répondre.

- 100 lires si t'es bon... 50 si t'es pas trop vicié... rien du tout si t'a goût de merde.

- Va pour 100 lires alors... répondit Zéphyr avec confiance malgrés son estomac qui commençait à se tordre.

Vendre son sang, comme ça, dans la rue, à un vampire... il risquait de mourir. Mais Cent lires c'était le bout du monde. Il n'avait jamais fait ça, il n'avait jamais eu vraiment le cran de laisser un vampire le mordre. Mais la situation lui avait complètement échappé et il n'avait pas réfléchis. Il ne voulait pas passer pour une couille molle. Alors il tendit son poignet au vampire, refusant catégoriqement de tendre son cou. Il voulait tout voir. Et pour la première fois de sa vie... Zéphyr fut mordu par un vampire. Une morsure qui le marqua à vie. Il fut bientôt collé contre le mur et se mit à haleter tout en grimaçant alors que les crocs se plantaient dans sa chaires. Une explosion dans son corps alors que son sang quittait son corps. L'adrénaline grimpa d'un coup et il gémit en se sentant soudain si faible. Jamais il n'avait du de rapports aussi rapprochés avec un vampire...

Lorsque la créature le lâcha, le jeune homme resta légèrement pantelant contre le mur, du sang coulant de la plaie située dans le creux de son bras droit. Il ne sentait plus ses doigts, engourdis par la perte de sang. Il se sentait faible. Relevant le regard vers le vampire, il tendit sa main gauche et fronça les sourcils, un sourcils provocateur aux lèvres. La créature lui rendit son sourire, avec mépris cette fois avant de plonger la main dans sa poche pour en sortir un billet de cinquante lires.

- J'ai goûté mieux... lança le vampire en laissant l'argent tomber sur le sol avant de partir.

Grimaçant et crachant sur le sol. Zéphyr se baissa et ramassa le billet. C'était plus qu'il n'en avait espéré à la fin de la journée. Ce ne fut que deux jours plus tard qu'il pesta et insultat le vampire en apprenant qu'il ne lui avait finalement quasiment rien donné par rapport à sa "prestation". Le jeune homme se jura se jour là de faire payer tout ces vampires au prix forts. Car il était désormais hors de question d'arrêter pour lui. Car non seulement cela rapportait bien mais en plus il avait pris son pied. Jamais il n'avait ressenti cela auparavant. Il s'était même masturbé dans l'allée après que le vampire soit parti. Il les feraient cracher leur pognons à ces arrivistes de suceurs de sang !


- Zeph ? Qu'est-ce que fait ? fit la voix d'une jeune fille en s'attachant les cheveux.

- Pas grand chose... murmura le jeune homme en pianottant nonchalament sur son ordinateur.

- Tu as pensé à envoyer les invitations ? demanda la jeune femme en enlaçant soudainement les épaules du jeune homme.

- Ouais ouais... répondit-il sans grande conviction, se jurant mentalement de le faire le jour-même.

- Menteur !

Zéphyr se retourna et avant qu'aucun reproche ne lui tombe dessus, il prit Corail contre lui et l'embrassa. Sa douce Corail... la seule personne dans toute la cité qu'il ai jamais trouvé interressante. Elle n'était pas comme les autres humains... tellement plus intelligente et bien plus douée que tout ce ramassis de merde comme lui. Cela faisait maintenant deux ans qu'ils étaient ensemble et ils avaient décidés de se marier. Ils étaient jeunes, certes... mais rien de mieux pour avoir une meilleure vie que de vivre à deux. Cela faisait un loyer et des charges divisés par deux. Ce qui rendait le reste un peu plus vivable. La seule personne respectable parmis tout ces déchets...


- Hey Z, y'a quelqu'un qui te demande ! fit une voix au loin.

Se retournant, Zéphyr aperçut un de ses clients réguliers. Un sourire narquois se dessina sur ses lèvres et il fit signe au vampire d'attendre. Il alla dans le fond de la ruelle et ouvrit son matos pour en sortir une seringue prête à l'emploie. Avec dextérité, il l'enfonça dans une veine et grimaça alors que le produit se mélangeait au sang. La tête lui tournant, il se donna une certaine constance et retourna près du vampire qui semblait nerveux.

- Alors mon grand... t'en a déjà plus assez de ce bon vieux Z ? ricanna le jeune homme en remontant la manche de son autre bras.

- Lâche-moi... je sais pas ce qu'il y'a dans ton sang mais putain... il est trop bon... sale vermine...

Zéphyr se mit à rire alors que les effets de la drogues commençaient à le rendre euphorique. Vite, il fallait que ce crétin le morde pour dissiper les effets. Le dealer tendis la main avec assurance, il avait bien compris qu'il fallait les faire payer avant. Mais bon, ce n'était pas comme si ils n'en avaient pas les moyens. Les billets lui furent tendu et il pris son temps pour les compter avant de tendre son bras.

- Allez, grouille... j'ai pas que ça à faire... fit l'humain avec condescendance.

Le vampire se jetta presque sur son bras et Zéphyr en gémit de plaisir en se collant contre la paroi du mur en béton qui se trouvait non loin de là. C'était bon... tellement bon... rien de mieux qu'une morsure pour aller mieux... pour tout oublier... oublier sa vie de déchet humain, sa vie seul... Oublier que Corail avait disparue sans laisser de traces trois semaines avant leur mariage. Oublier l'odeur de la jeune femme qui traînait parfois encore dans les tiroirs de son appartement miteux qu'il payait tant bien que mal. Car il avait beau vendre son sang à prix d'or... il avait beau s'être fait une clientèle d'habitué addict... acheter la drogue qui lui permettait de fidéliser ses vampires revenait cher. Et il devait beaucoup manger pour compenser la perte de sang... au final, il vivait un peu mieux que ses semblables mais c'était bien tout. Il était loin de pouvoir quitter le quartier pourris dans lequel il avait élu domicile. Il pouvait juste se targuer de ne pas mourir de faim, de ne pas avoir à supplier son proprio de lui laisser un délai supplémentaire et de pouvoir s'habiller correctement. Il avait juste passé le cap de la survie pour... vivre.

Et vivre... il le faisait, avec entrain. Il écrasait les plus faibles et se moquait de tout et de tout le monde. Il n'était qu'une ombre dans le quartier des loisirs mais il restait Z. Connu parmis les vendeurs de sang comme étant celui qui avait l'outrage d'avoir des clients fidèles qui le réclamait lui et personne d'autres. Il se sentait puissant et profitait allègrement de la faiblesse des vampires pour le sang frais.

Zéphyr Dvorakova est le plus grand connard parmis les quartiers de loisirs et il en est fier. Ce sale con manipulateur et provocateur qui ne se laisse pas marcher sur les pieds.

° Famille : Il n'a plus que son père. Sa mère étant morte de maladie quand il était petit.
Il aurait dû se marier mais sa fiancée à disparut du jour au lendemain sans que personne ne sache ni pourquoi, ni comment... s'est-elle faite tuer par un vampire ? S'est-elle faite embarquer par un prophète ? Est-elle tout simplement partie ? Personne ne le sait.



* Votre présence sur le forum sera : Aussi souvent que possible
* Votre avis sur le forum : d'la marde en boate
* Autre forum fréquenté : Belmonte (tout aussi pourri)
* Niveau de jeu : bouarf... on m'en dit du bien... après... à voir ^^

J'adore ta fiche, ma poupinette.

Le premier Humain validé... quelle émotion !

Bienvenue à ce connard de Zorglub... euh... Zéphyr.

Quel homme ce Zorglub néanmoins... *sort*

Merci beaucoup chouchounette ! !