° Nom : Arvalando
° Prénom : Milena
° Surnom : La jeune femme n’apprécie pas vraiment d’être appelée autre que par son prénom. Pourtant, elle en a trois. Milie qui lui a été attribué d’office lorsqu’elle est entrée dans la Milice, Azur à cause de ses yeux. C’est son père qui l’appelle ainsi. Et le dernier, c'est Sombre Furie donné par ceux qui l'ont vu plonger dans une colère effroyablement noire.

° Date de naissance : 11 Octobre 2512
° Age : 22 ans (et encore toutes ses dents)

° Métier : Milicienne à plein temps.
° Caste : Miliciens Humains

° Sexualité : Elle n’accorde aucune importance à cela car peu importe avec qui elle est, seul le plaisir et les sentiments comptes.



° Corpulence :
Milena pourrait être une magnifique femme aux allures de princesse ténébreuse qui aurait tout pour elle. La beauté, l’élégance, la finesse d’esprit, le charme et tant d’autres choses encore. Mais cela, elle se le refuse. Définitivement. Car Milena n’est pas là pour plaire à ces gens gourmands et insatiables, pour satisfaire bon nombre de désirs et d’envies. Non. Son physique n’est aucunement destiné à cela. Sa peau est blanche, d’une douceur effrayante et aussi lisse que de la soie. Pas comme les Vampires évidemment. Milena prend toujours soin de ne pas révéler trop de chair afin d’éviter les caprices du corps masculin, cette envie insatiable de la toucher l’énerve à coup sûr. Son visage ressemble à celui d’un ange. Lisse et doux, on remarque des lèvres discrètes et fines qui ne s’étirent que très rarement en des sourires. Son nez, tout aussi fin, n’est pas entièrement droit. Un peu plus recourbée vers le haut, mais cela est infime il faudrait se rapprocher de très près pour voir ce détail. Ses pommettes, bien malgré elle, sont souvent teintées d’un rose intriguant. Et ce qui est le plus beau sur ce visage de princesse, ce sont ses yeux. D’un bleu azuré. Profond. Qui vous transperce l’âme. Impossible de se détacher de ce regard qui, malgré la dureté des traits de Milena, vous fascine étrangement.

Il ne faut évidemment pas oublier sa chevelure longue et noire qui descend tout le long de son dos pour arriver au niveau de ses fesses. Lisses et soyeux, vous ne les verrez jamais friser. Ah et aussi, sa frange en dégradé cache en partie la cicatrice sur le côté gauche de son visage, passant du haut du front jusqu’à la joue. C’est en combattant que Milena s’est fait cela. Mais on ne la distingue que sous la lumière du soleil. Son corps est fin, musclé, habitué au combat et aux coups. Pourtant on peut y cerner une certaine élégance lorsqu’elle se déplace. Lorsqu’elle se bat, ses mouvements sont fluides, calculés au millimètre près. Tout cela est dût aux longs entrainements avec ses collègues. Ses bras fins sont, eux aussi, pourvus de muscles saillants et durs. Quant à ses mains, on ne peut pas les apercevoir nues car elles sont toujours gantées. Personne n’a jamais pu les voir. Qu’est-ce que ça cache ? Vous verrez le moment voulu. Si l’on continue notre chemin initiatique sur ce corps de femme, vous remarquez que si c’est tout en finesse, seule sa poitrine fait la différence. Vous l’aurez compris, c’est assez voyant. Avec cela rajoutons le poids qui ne dépasse pas les 57kg. Et pas un poil de graisse. Ses jambes sont longues, pourvues de muscles saillants et adeptes de la course poursuite à pieds ! Rien de tel n’est-ce pas ? Et attention à ses pieds, il paraît qu’elle adorerait les utiliser pour botter des derrières... A qui l’honneur de se confronter à une femme d’un bon mètre 72 ?

° Allure : Féline, ses mouvements sont souples, parfois mortelles. Milie s’est entraînée dure pour y arriver. Sombre, car ses habits s’allient parfaitement à la couleur de ses cheveux. Noirs. Elle prend bien sûr soin d’elle, cela va de soit. Jamais vous ne la verrez malade. Soignant son apparence de femme pour ne pas être piétinée, la jeune demoiselle n’hésitera jamais à se montrer ferme et fière devant ceux qui oserait la prendre de haut.

° Goûts vestimentaires : Tout ce qui est long et noir. Elle adore se donner une image de femme froide et calculatrice. Et aussi, que des bottes qui font mal au derrière. Des bottes biens lourdes et pointues donc.

° Signe distinctif : Une cicatrice sur le coté gauche du visage, en partie cachée par ses cheveux.



° Généralité : Milena est une femme qui ne se laissera jamais marcher sur les pieds, Vampires ou Humains. Pas question de se faire rabaisser par les autres, le passé y est certes pour beaucoup mais certaines choses font que dans la vie de tous les jours, il n’est pas possible de se laisser manipuler. Ce serait trop facile. Déterminée à mener ses missions à la perfection, il ne serait pas rare de la voir s’entraîner parfois nuit et jour afin de ne pas faire une quelconque erreur. Car la jeune femme à horreur de la défaite. Pour elle se serait être une personne faible, ce que Milena ne se permettra jamais de devenir. Trop de mauvais souvenirs de son enfance remontent lorsqu’elle y pense.

C’est quelqu’un de stratégique, qui ne se base pas sur l’attaque. Car plonger dans la gueule du loup n’est absolument pas son style. Elle, elle agit avec son cerveau et non pas avec ses muscles ! On pourrait la croire calculatrice. Sous un certain point de vu, c’est vrai. Mais détrompez-vous sur un point. Jamais elle ne deviendra ainsi. Calculatrice et manipulatrice. Ce n’est pas fait pour Milena qui, sous ses airs de femme frigide, cache bien des choses et des qualités, ce qui feraient d’elle une fille bien plus douce et gentille qu’à l’accoutumé. Ne l’énervez pas de trop, vous risqueriez d’être méchamment reçu. Voire violemment même. Parce qu’une fois que vous déclenchez sa colère, il faudra faire appel à de l’aide pour la calmer. Certains s’amusent même à l’appeler « la Sombre Furie ».

Si vous voulez la voir sourire hm... va falloir être patient, calme, et surtout assez marrant. Sinon oubliez. A moins que vous ne fassiez parti de sa famille et de ses plus proches amis. Eux peuvent la voir telle qu’elle est réellement. Une femme belle et merveilleuse.

° Aime / Déteste :
+ : La pluie, son boulot, la Justice.
- : Les Rebelles. La Manipulation.

° Sociabilité : Etant donné que c’est quelqu’un qui sourit peu, son cercle social n’est pas bien grand. Ses amis se comptent sur les doigts d’une seule main et paraitrait-il qu’elle serait très froide avec les gens... Rumeurs futiles, c’est une femme qui malgré son apparence peut être quelqu’un d’agréable. Si seulement elle pouvait sourire un peu plus...



° Passé :

Narration à la première personne, c’est pour vous expliquer le point de vue de Milena.

Il faut déjà savoir que, avant ma naissance, je n’étais absolument pas prévue au programme de mes parents qui se seraient bien passé de cet évènement pourtant heureux d’avoir un premier enfant. Il fallait bien un commencement à tout non ? Bref, lorsque ma mère annonça à mon père qu’elle était enceinte, ce fut le choc. Le drame. Le truc qui fallait pas que ça arrive de suite là maintenant. Bah si. Hélas. Ce jour-là, papa s’entraînait avec quelques uns de ses collègues quand maman le lui apprit. Hey, j’avais pas demandé à être là moi ! Franchement, si en naissant j’avais pu leur dire ça, on m’aurait prise comme cobaye pour faire d’horribles expériences. Bon, cessons les conneries et parlons sérieusement. Après tout, c’est mon histoire.

Après neuf longs moments d’attentes et de douleurs incessantes, je naquis. Il pleuvait dehors, l’océan était déchainé et les vagues se plaquaient sur le Dôme sans pénétrer la ville. Moi, je fus rapidement nettoyée et blottie dans une couverture bien chaude afin que je ne meure pas de froid. Ils étaient heureux mes parents maintenant que j’étais là. Eux qui franchement se seraient bien passés de moi... M’enfin je n’avais pas à me plaindre. Ils m’aimaient, et c’était ce qui comptait. Maman me donna le nom de Milena, croisement de deux prénoms, ceux de mes grands-mères Marie et Hélène. Ouais on s’en fout je sais.

Mon enfance se passa sans trop de difficultés. J’étais une gamine pas trop chiante, un peu curieuse certes, comme tout les enfants d’ailleurs et je posais pas mal de questions à mes parents qui s’amusaient toujours en m’expliquant chaque chose avec des choses, des exemples et des mimiques qui m’amusaient aussi. Du moins à la maison. Parce que je n’aimais pas aller dehors. J’avais trop peur. Oui à cette époque le courage me manquait énormément. Peuh, de toute façon je rattraperais ça plus tard. Bref, je ne sortais que très peu, d’où ma peau blanche. Maman était souvent dans son atelier de peinture à me dessiner. Et comme une petite enfant que j’étais je riais de voir toutes ces jolies couleurs se poser sur la toile. Et plus je grandissais et plus j’adorais.

Mais au lieu de me lancer, vers l’âge de 7 ans, dans le dessin et ses complexes, moi j’ai préféré me mettre à lire. Mon père trouvait cela fascinant et très distractif car au lieu de me lire de vieilles histoires, c’était moi qui le faisais. Avouez qu’à sa place vous seriez scotché au mur. Mais cela me plaisait tellement, me donnait le sourire que pour rien au monde mes parents ne firent rien pour mon insatiable soif de lecture et me laissaient nager dans le bonheur des lignes que je lisais. Durant trois années ce fut ça. Du bonheur. Et je ne mettais toujours pas les pieds dehors. Mon cercle social n’allait pas s’agrandir certes, mais ce n’était pas ma faute si j’avais peur. Papa tentait toujours de me rassurer, lui qui travaillait dans la Milice. Et si parfois je le croyais, mes cauchemars me replongeaient immédiatement dans la même horreur qu’avant.

Et puis un jour, mes parents m’annoncèrent que j’allais avoir un frère. Imaginez le choc. Un bébé à la maison. Avec qui je ne pourrais pas m’amuser car trop fragile. Avec qui je ne pourrais pas parler parce que lui ne comprendrait pas mes mots. Autant dire que si mes parents s’attendaient à ce que je saute de joie, bah c’était raté. Ils n’ont pas compris mon soudain changement d’attitude, et au bout de quelques mois ils ont abandonnés l’idée de me faire parler. J’étais dans mon coin, plus seule que jamais. Je lisais continuellement, entraînant par conséquent ma mémoire qui se souvenait des lignes de mes livres préférés. Je leur en voulais à papa et à maman pour m’avoir fait un coup pareil ! Je les ai même détesté, eux qui m’avait offert tant d’amour...

La naissance de Carl arriva. Nouvelles souffrances pour maman, nouvelles inquiétudes pour papa. Moi je boudais toujours dans mon coin. Des cris, des pleurs. Soulagement. Mais cette fois encore je ne bougeais pas, restant seule dans ma chambre. Cela dura un mois. Jusqu’au jour où ma mère me laissa seule avec Carl, mon petit frère que je ne voulais pas voir. Elle était partie chercher quelque chose je ne m’en souviens plus très bien. Bref. Carl pleurait. Au début me déplacer était hors de question. Et puis il continuait, de plus en plus fort. Ma patience de fillette d’à peine 10 ans s’émiettait de minutes en minutes et au final, je suis entrée dans sa chambre. Attrapant de quoi grimper jusqu’à lui, je me penchais sur son berceau. Et là, nos yeux se croisèrent pour ne plus se décrocher. Ses cris s’arrêtèrent à ce moment là. J’étais une inconnue pour lui. Moi, j’étais fasciné par ce petit visage d’ange qui me scrutait avec curiosité. Et puis il m’a offert un sourire que jamais je ne pourrais oublier. Un sourire pur et innocent, heureux de voir quelqu’un qui lui ressemblait. Car Carl était mon portrait tout cracher en version masculin en couche culotte. Lorsqu’une heure plus tard maman rentra à la maison, une larme coula sur sa joue. J’étais avec mon petit frère, assoupie dans son berceau et une main sur sa petite poitrine.

Depuis ce jour, c’était l’amour fou entre lui et moi. Je jouais avec lui, je prenais soin de lui quand mes parents n’étaient pas là, je le protégeais lorsqu’on allait dehors. Ah oui, je vous l’ai pas dit mais maintenant je n’ai plus peur de pointer le bout de mon petit nez hors de chez nous. Miracle. Bref. C’était merveilleux. Mais ce n’était qu’une illusion, éphémère réalité qui se brisa dans la lueur de nos plus Pires Cauchemars. Maman, qui allait pourtant bien, mouru d’une maladie que les médecins peinèrent à identifier. Ce fut dans son sommeil. Pas de souffrances. Juste la Mort qui fauchait son Âme. Papa en fut bouleversé, jamais je ne l’avais vu dans cet état. Il pleurait à ne plus avoir d’eau dans son corps. Carl ne comprenait pas ce qui se passait. Il savait juste que maman ne serait plus là désormais. Durant des nuits, de longues nuits même, ce fut infernale. Et rien ne pouvait empêcher ça. Cela en était... frustrant.

Bien malgré moi, je suis rapidement devenue plus mature que les jeunes de mon âge. A 12 ans, je savais faire ce qu’une femme adulte accomplissait tous les jours. Je m’occupais de mon petit frère, de la cuisine, des tâches ménagères, des courses, etc. pendant que papa travaillait plus durement encore. Je haïssais ces Rebelles qui lui donnaient du fil à retordre, et qui nous privaient parfois pendant des jours de sa présence rassurante. C’est à cette époque là que je me suis juré de devenir à mon tour une milicienne. J’étais même sacrément motivée. Mais ce n’était pas le moment de songer à ça. Car je me confrontais à un problème bien plus embêtant. Voire même frustrant et vexant. Moi qui m’étais ouverte aux autres, moi qui souriais à tout le monde, moi qui ne sortais jamais avant... J’avais eu des amis. Mais... On s’est moqué de moi. Parce que je n’étais plus amusante. Parce que j’essayais d’imiter les adultes. On me reprochait d’être en vie. Parce que j’étais apparemment maudite. Chaque ami que je possédais avait perdu un proche depuis la mort de ma mère. Ce n’est pas de ma faute ! C’est ce que je m’évertuais à leur crier dessus. Mais sans succès. Rejetée par les autres pour une faute que je n’avais pas commise, je me suis renfermée sur moi-même, m’en voulant personnellement de ne pas avoir pu sauver maman.

J’entrais en pleine phase d’adolescence lorsque je fus jetée comme une vieille chaussette qui pue le munster. C’était dur. Très dur. A peine 15 ans et je me morfondais déjà sur moi-même, maudissant cette foutue vie. Je n’y pouvais rien. Tout ce que j’avais à faire, c’était à m’occuper de Carl. Papa n’était plus très présent ces derniers temps, son boulot prenait une trop grande place dans sa vie. C’était mon avis en tout cas.

Durant des années, je me suis demandée ce que je faisais ici. Moi qui n’avais rien demandé à personne, moi qui n’avais pas voulu vivre dans ce monde. Pourquoi ? Pourquoi le Destin ne me réservait que des évènements plus malsains les uns que les autres ? Qu’avais-je fait pour mériter cela ? Ma question resta sans réponse. Et jamais je n’en aurais. Tout ce que je savais, c’était que mon frère avait besoin de moi et que je ne pouvais pas l’abandonner. Un jour, alors que je venais d’avoir 20 ans, papa me fit entrer dans la Milice. Je m’étais alors retrouvée avec des gens incroyables. Des Vampires même ! Wouah... J’hallucinais au début, je pensais que c’était une blague mais non, cela était bel et bien réelle. Bon, j’avais passé de nombreux tests physiques avant d’être vraiment acceptée au sein des Miliciens Humains. Une fois cela fait, je me fis deux amis. Deux hommes qui aspiraient comme moi à une grande Justice. Et par dessus tout, alors que je m'étais promis de ne pas succomber au charme des Vampires, j'étais tombée amoureuse de l'un d'eux. Mais je ne disais rien. Je n'en avais pas le droit malgré notre égalité dans la Milice.

Jour après jour, mois après mois, je m’entrainais durement, j’accomplissais les missions que l’on me confiait avec fierté et courage. Et ceux qui se mettaient sur mon chemin mourraient. Ou croupissaient en prison. La deuxième solution se trouvait être la mieux pour les autres. La pire pour moi. J'essayais aussi de ne pas me focaliser sur mon collègue vampire qui vraiment m'attirait beaucoup. Un peu trop à mon goût. Je me sentais si faible lorsqu'il était près de moi...

Aujourd’hui, j’attends avec une grande impatience la suite des évènements. Je le sais, je le sens, le Destin n’a pas fini d’être malsain avec nous. Et puis, je crois que je n'ai aucun espoir d'être aimé par mon cher collègue vampire donc doucement je laisse l'abandon de mes sentiments se faire une place et garde tout près du coeur cette amitié qui nous lie tous les deux.

Un jour j'espère que je rencontrerais quelqu'un de bien. Qui saura me comprendre et me supporter, qui acceptera mes défauts... Bref qui m'aimera pour ce que je suis et non pas ce que je fais.

Tiens, je verse dans le mélodramatique... Pitoyable non?

° Famille :
•• Altan Arlavando :
Age : 45 ans
Race : Humain
Caste : Milices Humains
Métier : Milicien le jour, peintre la nuit
Statut : En vie. Père de Milena et de Carl. Epoux d’Ermelina.
« Mon père est un homme de caractère et très fidèle à son travail. Cela nous arrive de travailler ensemble mais personnellement je préfère l’éviter. Nos méthodes diffères trop, ce qui donnent de nombreuses disputes inutiles car chacun à sa façon de faire. C’est aussi un homme qui malgré la dureté de la vie, ne se laisse pas abattre. Je l’admire vraiment beaucoup.»

•• Ermelina Arlavando :
Age : 40 ans
Race : Humaine
Caste : Sans caste
Métier : Etait Peintre à plein temps
Statut : Décédée. Mère
« Je l’aimais ma mère. De tout mon cœur. Mais elle est partie, dévastée par une maladie qui l’a tué dans son sommeil. Au moins elle n’a pas souffert à ce moment là... C’était une femme formidable, belle et gentille. On ne pouvait que tomber sous son charme de femme douce et aimante... »

•• Carl Arlavando :
Age : 13 ans
Race : Humain
Caste : Sans caste
Statut : En vie. Frère de Milena.
« Ah mon petit frère... Une vraie pile électrique ce gosse ! Mais il m’apaise lorsque je suis triste ou en colère. Sa bouille d’ange me fait souvent penser que j’étais comme lui avant. Plus tard, il veut devenir milicien, comme moi et papa. Je me suis si fière de lui... pas question de le perdre ! Je te protégerai jusqu’à mon dernier souple petit frère, je te le promets.»




* Votre présence sur le forum sera : Régulière.
* Votre avis sur le forum : Magnifique design, superbe histoire. Que du positif quoi ^^
* Autre forum fréquenté : Oula... plusieurs. Dont Belmonte.
* Niveau de jeu : Je le situerais dans la moyenne. C’est selon mes partenaires et mon inspiration.

Juste pour prévenir que j'ai terminé ^^

Ma foi voilà une excellente fiche, très bien écrite =)

Je valide donc avec mention.

Bon jeu !

Youpiiii Merci!